Lettre en acrostiche
Lettre en acrostiche à la Alfred De Musset et Madame George Sand.
Chère
J’ai envie de tout vous avouer
Ai – je eu ce droit de parler
L’envie me fait souffrir
Honneur à moi mes chers
De vous trier ces vers
Vous chère
Exprimer pour moi est un droit
Ma seule émission que je vois
Joie immense je trouve entre l’encrier et la plume
Pleine d’émotions je découvre entre le marteau et l’enclume
De notre défaite de faux de savoir
Faits déconseillés pour la vue
Et qui déplaisent les yeux
D’une vie qui survit, qui défit
Effets d’une chienne de vie
Pour vous déclarer ma vérité
Vous, spécialiste à la lisibilité
Dire associé du verbe faire est un délire
Quand à votre silence, je vois ma souffrance
Est devenue une maladie sans convalescence
Ce qui explique ma profonde douleur
J’étais enchaîné des années nuits et jours
Aurai – je le droit de sentir votre Amour
Le bonheur est cher après mon malheur
Droit qui touche le cœur
De l’Homme que la plume lui a enseigné
Parler et écrire pour défendre ses intérêts
Parce que le bon Dieu nous a mis tous de terre à terre
Que pour s’entraider pas pour se haïre
Moi qui vous écris de bonne foi
Je suis la proie de leur mauvaise loi
Suis victime d’un crime qui n’existe même pas
Prêt à rendre l’Etre prisonnier ou fou.
Maintenant, si vous lisez mes premiers mots
Dorénavant vous allez trouver mes maux
???